Ce billet du mercredi est de nouveau consacré à la présentation des invités du Pr. Carlos Moreno lors de l’événement 24 Heures sur la Terre des 22 & 23 novembre. Découvrez des personnalités exceptionnelles qui font tourner le monde !
Je fais suite à mes deux précédents billets du mercredi (https://www.moreno-web.net/24-heures-sur-la-terre/ & https://www.moreno-web.net/24honearth/) afin de vous présenter la suite de mes invités au grand évènement ubiquitaire « 24 heures sur la Terre » #24hOnEarth. Ils nous parleront de leurs innovations et contributions pour construire, dès aujourd’hui, un monde meilleur.
Nous aurons le plaisir d’entendre, en direct de Santiago de Chili, le Professeur Boyd COHEN, un américain originaire du Colorado devenu latino-américain de cœur. Chercheur, professeur, entrepreneur civique, Boyd Cohen est grand expert international dans le domaine de la ville durable et intelligente et une personnalité reconnue dans le domaine des Smart Cities. Il enseigne actuellement à l’Universidad del Desarrollo à Santiago du Chili.Du Pérou, nous entendrons Julien NOEL et Jessica RUAS. Julien est Professeur et chercheur à la Universidad de Ingenieria & Tecnologia de Lima. Avec Jessica, ils ont mis au point, au sein de l’université, un système très innovant de filtration de base installé sur des panneaux d’affichage et produisant environ 100 litres d’eau par jour à partir de l’humidité.
Lima est la plus grande ville du Pérou et la cinquième en Amérique latine, avec environ 7,6 millions d’habitants. Parce qu’elle est située le long du sud de l’océan Pacifique, le taux d’humidité dans la ville avoisine les 83%. Mais Lima fait également partie de ce qu’on appelle un désert côtier : elle se trouve à l’extrémité nord de l’Atacama, le désert le plus aride au monde, ce qui signifie que la ville voit à peine deux centimètres de pluie par an. Dans une ville où environ 1,2 millions d’habitants de Lima n’ont pas accès à l’eau courante, et dépendent de camions d’eau privés qui la livrent aléatoirement, l’approvisionnement en eau représente un enjeu majeur.Du Vietnam, à Ho Chi Minh Ville, nous échangerons avec Hoang-Anh PHAN. Française d’origine vietnamienne, elle fait partie des citoyens à double culture qui ont choisi d’effectuer un « retour aux sources » pour comprendre ses origines, mieux parler une langue apprise en France et s’imprégner de cette double culture en la vivant pour en faire un atout. Pour Hoang-Anh, développer une activité au Vietnam, c’est contribuer au développement de son pays d’origine, en partageant son expérience, ses connaissances mais également ses convictions. Devenu le 10ème pays mondial en nombre d’abonnés à la téléphonie mobile et dénombrant pas moins de 30 millions d’internautes, le Vietnam mise à son tour sur les nouvelles technologies avec des projets comme Silicon Vietnam. Hoang-Anh Phan évoquera avec nous ses sujets de prédilection, l’agilité, l’innovation, l’apport des nouvelles technologies.
J’aurai par ailleurs moi-même le plaisir de me rendre à Hanoi début décembre pour participer au 37ème congrès de l’Association Internationale pour le Développement Urbain (INTA), au cours duquel je ferai un keynote sur l’intelligence urbaine et participerai à un workshop sur la résilience de la ville.
Celles et ceux qui me lisent ou me suivent sur Twitter ont eu récemment l’occasion de découvrir « Empty Sea », la très belle exposition d’Alexanor, une jeune artiste française demeurant à Hong Kong que j’ai soutenue en participant à sa table ronde d’inauguration. Par le langage de l’art et de l’émotion esthétique, en s’inspirant de la culture asiatique, Alexanor transmets un message d’actualité fort : il faut arrêter la surpêche, car il en va de la survie des océans, mais aussi de celle des hommes.
En écho à cette thématique, nous entendrons deux invités qui ont consacré leur vie à la nature et pratiquent cette activité aussi vieille que l’humanité, la pêche et qui se battent aujourd’hui pour développer une pêche socialement et écologiquement responsable. D’Islande tout d’abord, nous échangerons avec Arthur BOGASON, un pêcheur, Président de l’Icelandic National Association of Small Boat Owners.
D’Alaska, nous écouterons Eric SIY, Directeur exécutif de “The Fund for Lake George, ancien directeur du Conseil de l’Alaska Marine et membre de la « Responsible Fishing Alliance. L’industrie de la pêche de l’Alaska est importante. On estime à 1,5 milliards de dollars la valeur totale de la pêche commerciale pour les pêcheurs.
Eric contribue au développement de communautés de pêche en Alaska pour soutenir la pêche à petite échelle au niveau mondial et favoriser ainsi la conservation de ces ressources.
Je suis très heureux et fier de participer à la conception et réalisation de cette belle émission aux côtés de mon ami le journaliste Jean Yves Casgha et de toute son équipe de TerreTV et Science Frontières (http://www.sciencefrontieres.com/ ).
Soyez donc nombreux à nous suivre des quatre coins de la planète !
A bientôt,
Carlos Moreno
Paris, le 4 novembre 2013
Mi crónica de este miércoles esta de nuevo dedicada al gran acontecimiento ubiquitario “24 horas en la Tierra” #24hOnEarth que se efectuará a partir de Marsella el 22 de noviembre. Siguiendo el sol, siempre al mediodía encontraremos a los que hacen girar el mundo.
Cada uno de ellos nos hablará de sus innovaciones y contribuciones para construir a partir de hoy un mundo mejor.
Les presento nuevas personalidades en complemento de las que ya he presentado en mis dos crónicas anteriores. https://www.moreno-web.net/24-heures-sur-la-terre/ & https://www.moreno-web.net/24honearth/
Tenemos el placer de acoger desde Santiago de Chile, un americano, de Colorado, un latino americano de corazón y quien es una personalidad importante e internacional en el área de las Smart Cities. Nuestro amigo, el Profesor Boyd COHEN, también nos hace la amistad de estar con nosotros.
Boyd es investigador, profesor, empresario cívico y un gran experto internacional en el dominio de la ciudad sostenible e inteligente. Hoy, Profesor en la Universidad del Desarrollo en Santiago de Chile, aporta una contribución importante al desarrollo de las ciudades dónde hace vivir mejor.
De Perú acogeremos a Julien NOEL y Jessica RUAS.
Julien es Profesor e investigador a Universidad de Ingeniería y Tecnología a Lima. Con Jessica, han creado el seno de la universidad un sistema muy innovador de filtración de base instalado sobre tableros de información produciendp cerca de 100 litros de agua al día a partir de humedad.
En efecto, Lima es la ciudad más grande del Perú y la quinta en América latina, con cerca de 7,6 millones de personas. Situada a lo largo del sur del océano Pacífico, la tasa de humedad de la ciudad confina con el 83 %. Pero Lima también forma parte de lo que se llama un desierto costero: se encuentra a la extremidad norte de Atacama, el desierto más árido en el mundo, lo que significa que la ciudad ve apenas dos centímetros de lluvia al año. En una ciudad dónde cerca de 1,2 millones de habitantes de Lima no tienen acceso al agua corriente, y dependen de camiones privados de agua que lo entregan aleatoriamente. El suministro de agua es un problema mayor para los habitantes.
De Vietnam tendremos a partir de Ho Chi Minh Ciudad Hoang-Anh PHAN:
Francesa de origen vietnamita, ella forma parte de los ciudadanos de doble cultura que decidieron efectuar una “retorno a sus raíces”. Comprender sus orígenes, hablar una lengua que fue aprendida en Francia, impregnarse de esta cultura doble, son nuevas vivencias para convertirlas en una real ventaja.
Para ella, desarrollar una actividad en Vietnam, es contribuir al desarrollo de su país de origen, compartiendo su experiencia, conocimientos y sus convicciones.
Vietnam apuesta también a las nuevas tecnologías, de hecho es el 10° país mundial en número de abonados a la telefonía móvil, teniendo 30 millones de internautas y desarrollando proyectos tales como el Silicón Vietnam. Hoang-Anh, con nosotros nos hablará de la innovación, su agilidad, y el aporte de las nuevas tecnologías, sus temas de predilección.
Por mi parte, tendré el placer de ir a Hanói, a principios de diciembre para participar en el 37 congreso de la Asociación Internacional para el Desarrollo Urbano, INTA, donde estoy invitado a hacer un keynotes sobre la inteligencia urbana y a participar en un workshop sobre la resiliencia y la ciudad.
Aquellos que me leen o me siguen sobre Twitter tuvieron la oportunidad de compartir recientemente respecto a la bella exposición Empty Sea? de la joven artista francesa, radicada en Hong Kong, Alexanor, que apoyé participando en su mesa redonda de inauguración.
Con un lenguaje, el del arte y de la emoción estética, con inspiración asiática, ella participa en la difusión del mensaje que concierne al conjunto de la humanidad: hay que detener la sobrepesca, porque se trata ante todo de la supervivencia de los océanos y de los hombres. Haciendo percibir la fragilidad de los océanos, Empty Sea? nos hizo sentir también la de nuestra propia condición humana
He aquí pues en eco, dos invitados que nos hablarán de su pasión, de su oficio, de lo que representa una vida dedicada a la naturaleza que practica esta actividad, vieja como la humanidad, la pesca.
Se trata también de evocar la importancia de desarrollar una pesca social y ecológicamente responsable, en armonía con la naturaleza y el medio ambiente :
De Islandia, Arthur BOGASON, un pescador, Presidente de la Icelandic National Asociation of Small Boat Owners, viviendo intensamente lo que es su vida, su pasión, su oficio, una pesca respetuosa de los sistemas ecológicos y sociales.
“Hablo de la pesca “responsable “, lo que quiere decir una elección responsable en materia de equipos y el uso de embarcaciones más pequeñas, lo que consumen menos de combustible. Esta responsabilidad se aplica también al campo social: una pesca social crea trabajo y actividad en el seno de la comunidad local”
En Alaska otro pescador. Eric SIY es el Director ejecutivo de « The Fund for Lake George », antiguo director del Consejo Marino de Alaska y miembro de la « Responsible Fishing Alliance ».
La industria de la pesca de Alaska es grande. El valor global de la pesca comercial es de 1,5 mil millones de dólares para los pescadores.
Eric contribuye al desarrollo de comunidades de la pesca en Alaska y con sus proyectos ayudar a sostener la pesca mundial a pequeña escala. Eric piensa que una nueva generación de gente van a ver la importancia de la pesca y los océanos, y a volverse más activos e implicados en la conservación de estos recursos (more fish in the seas).
He aquí pues esta tercera y ultima crónica del miércoles dedicada a este gran acontecimiento ubiquitario, único, que desde Marsella nos permitirá compartir las visiones y las experiencias de todos aquellos, quiénes con pasión y compromiso hacen girar el mundo para aportar su contribución a un mejor vivir.
Estoy muy feliz y orgulloso de participar al lado del periodista y amigo Jean Yves Casgha y todo su equipo, con TerreTV y ScienceFrontière a su diseño y realización.
¡ Sean pues numerosos, de todas partes en el planeta a seguir este evento del 22 al 23 de noviembre, claro esta, siendo una vuelta al mundo con el sol, desde el mediodía ! 😉
Hasta pronto
Paris, 4 de noviembre 2013